En Chine, la sieste est un droit inscrit dans la Constitution
Mise à jour le 2025-12-14 12:00:00 : En Chine, la sieste est reconnue comme un droit fondamental. Cela impacte la culture du travail et la productivité des salariés.
La sieste est valorisée en Asie, où elle est perçue comme un outil d’efficacité et de concentration. En Chine, la sieste (shui wu shui, littéralement « sommeil de midi ») est inscrite dans la Constitution de 1948. Cette reconnaissance souligne l’importance du repos dans le milieu professionnel. D’autres pays, comme le Japon, acceptent également la sieste au travail, renforçant l’idée que le repos est essentiel pour la productivité.
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : La sieste est un droit inscrit dans la Constitution chinoise.
- Qui est concerné : Les salariés en Chine.
- Quand : Depuis 1948.
- Où : Chine.
Contexte
En Asie, la sieste est valorisée comme un moment de récupération et de concentration. Elle est loin d’être considérée comme un signe de paresse. Au Japon, le concept d’inemuri, qui signifie « être présent tout en dormant », montre que la sieste est socialement acceptée. Dans les pays méditerranéens, la tradition de la sieste est souvent liée aux conditions climatiques, facilitant le repos durant les heures les plus chaudes de la journée.
Sources
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Date de publication : 2025-12-14 12:00:00
Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Article vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.
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