En 2026, la France championne mondiale du pessimisme : chute du moral, repli sur la famille et inquiétude pour l’avenir

Le moral des Français atteint un niveau historiquement bas, avec des conséquences directes sur la cohésion sociale et la participation citoyenne.

La France affiche un pessimisme record pour 2026, selon les derniers chiffres relayés par Sud Ouest. Ce climat touche la vie quotidienne, l’emploi, la santé mentale et la confiance dans l’avenir. Le risque d’abstention aux prochaines élections municipales est élevé. Les Français privilégient désormais les liens familiaux, signe d’un repli face à l’incertitude économique et géopolitique. Les prochaines semaines seront décisives pour mesurer l’impact sur la société et la mobilisation citoyenne.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : La France est le pays le plus pessimiste au monde, à égalité avec la Corée du Sud, selon les données publiées.
Qui est concerné : L’ensemble de la population française, particulièrement les actifs, familles et électeurs.
Quand : Fin 2025 et perspectives pour l’année 2026.
Où : France, contexte international également mentionné.

Chiffres clés

41 % des Français abordent 2026 avec optimisme (contre 71 % dans le monde).
73 % souhaitent renforcer les liens avec famille et amis en 2026.
Le moral chute de 9 points par rapport à l’an dernier.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Priorité accrue à la vie privée, risque de désengagement civique.
Démarches utiles : Aucune procédure spécifique mentionnée.
Risques si vous n’agissez pas : Possibilité d’abstention record aux élections municipales.
Exceptions : Non précisées.

Contexte

Le pessimisme français s’explique par une succession de crises nationales : politique, économique, catastrophes naturelles, difficultés agricoles, et montée du narcotrafic. Sur le plan international, la guerre en Ukraine et à Gaza accentuent l’anxiété. Ce climat favorise un repli sur la sphère privée, décrit comme une forme de résilience introspective. Le projet de « réarmement démographique » évoqué par Emmanuel Macron s’inscrit dans ce contexte. La crainte d’une forte abstention lors des municipales de mars 2026 est exprimée.