03.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 8 Views 0 Comments

Élargissement de l’UE : vers un retrait du droit de veto pour les nouveaux membres ?

Mise à jour le 2025-11-03 06:55:00 : Neuf pays attendent d’adhérer à l’UE, mais le processus est bloqué par des règles strictes.

[Introduction 2–4 phrases : fait vérifié ; pourquoi cela vous concerne (argent/santé/sécurité/données/voyage/emploi) ; risque/urgence/incertitude ; prochaine étape si disponible. Aucune URL ici.]

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Neuf pays aspirent à rejoindre l’UE, mais le processus d’adhésion est au point mort.
Qui est concerné : Les pays candidats, notamment la Macédoine du Nord, le Monténégro, la Serbie et l’Albanie.
Quand : Depuis plusieurs années, certains depuis 2004.
Où : Dans les Balkans et en Turquie.

Chiffres clés

38 ans : durée d’attente de la Turquie pour son adhésion.
2004 : année où la Macédoine du Nord a déposé sa candidature.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Possibilité de statut de membre partiel sans droit de veto pour les nouveaux pays.
Démarches utiles : Suivre l’évolution des discussions au sein de l’UE.
Risques si vous n’agissez pas : Blocage prolongé du processus d’adhésion.
Exceptions : Aucun statut de membre à part entière pour les nouveaux entrants.

Contexte

Neuf pays aspirent à devenir membres de l’UE. Malgré la dynamique politique instaurée depuis le début de la guerre en Ukraine, le processus est au point mort du côté bruxellois, du moins depuis l’époque où Jean-Claude Juncker présidait la Commission européenne. La Macédoine du Nord, depuis 2004, le Monténégro et la Serbie, 2008, et l’Albanie, depuis 2009, figurent parmi les pays qui attendent depuis le plus longtemps. Une attente bien plus longue que les dix années qu’a connues la Croatie, dernier pays à avoir rejoint l’UE. Mais, depuis, les États membres se montrent beaucoup plus prudents.

Ce qui reste à préciser

Quel impact aura le statut de membre partiel sur les droits des nouveaux pays ?
Comment les États membres réagiront-ils à cette proposition ?

Citation

« L’adhésion exige bien plus de conditions. Il faut respecter de nombreuses règles, garantir l’état de droit, transposer le droit de l’UE en droit national et se conformer à un certain nombre de critères qui n’existaient pas il y a encore peu de temps. » — Teona Lavrelashvili, chercheuse au Centre Wilfried Martens d’études européennes.