30.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 View 0 Comments

Don d’ovocytes à Lyon : des donneuses mobilisées face à des listes d’attente de deux ans

Des Lyonnaises donnent leurs ovocytes pour réduire l’attente des couples. Cela concerne la santé reproductive et l’accès aux soins.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Le journal Le Progrès rapporte plusieurs témoignages locaux.
Des femmes racontent leurs motivations et leurs parcours.
L’article cite des délais d’attente longs en France.
Ces délais ont un impact direct sur l’accès à la PMA.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Des Lyonnaises donnent leurs ovocytes pour aider d’autres familles.
Qui est concerné : Les personnes en parcours de procréation médicalement assistée et les donneuses potentielles.
Quand : Article daté du 20 octobre 2025.
Où : Lyon et, plus largement, la France (témoignages locaux).

Chiffres clés

24 mois : temps d’attente moyen mentionné dans l’article (France).
25 ans : âge indiqué pour Lise Ittelet, citée dans l’article.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : La sensibilisation locale met en lumière un besoin accru de donneuses.
Démarches utiles : L’article ne détaille pas la procédure administrative complète pour donner.
Risques si vous n’agissez pas : Pour les candidats à la PMA, l’attente peut retarder la conception.
Exceptions : Aucune exception précise n’est mentionnée dans l’article.

Contexte

Le reportage rapporte que certaines Françaises doivent se rendre à l’étranger pour trouver un don.
La pénurie de donneuses et les délais poussent des patients à chercher des solutions hors de France.
Le sujet relie santé publique et accès équitable aux techniques de procréation assistée.

Ce qui reste à préciser

Chiffres nationaux détaillés sur le nombre de donneuses et de demandes.
Procédure complète et délais officiels par centre de procréation médicalement assistée.

Citation

« Je suis tombée sur un reportage à la télévision où des Françaises étaient obligées d’aller hors de France pour trouver un don d’ovocytes. » — Marie Leroy