Détention illicite : Salah Abdeslam et trois complices en garde à vue

Introduction : Le 8 novembre 2025, une enquête a été élargie concernant la détention illicite d’une clé USB par Salah Abdeslam, dernier membre vivant des commandos des attentats du 13 novembre 2015. Trois personnes ont été placées en garde à vue, soulevant des questions sur la sécurité en prison et la radicalisation. À quelques jours des commémorations du drame, cette affaire prend une dimension préoccupante.

Ce qu’il faut retenir

Salah Abdeslam purge une peine de prison à perpétuité pour son rôle dans les attentats de 2015.
Des contenus djihadistes ont été découverts sur un ordinateur personnel, soulevant des inquiétudes sur des possibles nouvelles attaques.
Sa compagne est suspectée d’avoir transmis une clé USB lors d’une visite en prison.
Deux autres personnes ont été arrêtées, liées à une enquête sur l’association de malfaiteurs terroristes.
La garde à vue de la compagne d’Abdeslam a été prolongée, indiquant des preuves sérieuses contre elle.

Faits vérifiés

Selon des sources fiables telles que TF1 INFO et France 24, l’enquête a débuté après la découverte de supports extérieurs dans l’ordinateur d’Abdeslam, contenant des vidéos de propagande djihadiste. Les enquêteurs cherchent à déterminer comment ces éléments ont pu être introduits dans la prison. La prolongation de la garde à vue de sa compagne suggère des indices significatifs concernant un projet d’action violente.

Le détail qui fait réagir

La découverte de contenus djihadistes dans un ordinateur détenu par un condamné à perpétuité est un élément alarmant qui soulève des questions sur la sécurité pénitentiaire et la radicalisation en milieu carcéral.

Réactions officielles et citations

« Nous devons rester vigilants face à toute forme de radicalisation, même en prison. » — Ministre de l’Intérieur, 8 novembre 2025.

Analyse & Contexte

Cette affaire met en lumière les défis de la sécurité dans les établissements pénitentiaires, notamment en ce qui concerne la radicalisation des détenus. À l’approche des commémorations des attentats de 2015, la découverte de ces contenus djihadistes est d’autant plus préoccupante, car elle rappelle les dangers persistants liés au terrorisme.