05.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 23 Views 0 Comments

Des techniques pour refroidir la Terre : la modification de la radiation solaire examinée

Mise à jour le 2025-11-05 19:08:00 : Des méthodes pour réfléchir une partie de la lumière solaire pourraient aider à refroidir la planète, mais elles ne remplacent pas les réductions d’émissions.

[Introduction 2–4 phrases : fait vérifié ; pourquoi cela vous concerne (argent/santé/sécurité/données/voyage/emploi) ; risque/urgence/incertitude ; prochaine étape si disponible.]

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Des techniques de modification de la radiation solaire pourraient réduire les températures globales.
Qui est concerné : Tous les citoyens, en particulier ceux vivant dans des zones à risque climatique.
Quand : Actuellement, avec des implications futures à long terme.
Où : À l’échelle mondiale, affectant tous les pays.

Chiffres clés

Projections de hausse des températures de plus de 3°C d’ici 2100 sous les politiques actuelles.
Risques accrus d’événements climatiques extrêmes, tels que des monsoons et des incendies de forêt.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Potentiel de réduction des impacts climatiques graves.
Démarches utiles : Suivre les développements scientifiques et politiques sur la SRM.
Risques si vous n’agissez pas : Augmentation des catastrophes naturelles et des coûts économiques.
Exceptions : Les techniques ne remplacent pas les efforts de réduction des émissions.

Contexte

La modification de la radiation solaire (SRM) est examinée dans un rapport de la Royal Society, qui souligne ses potentiels et ses limites. Alors que les efforts mondiaux pour réduire les émissions semblent de plus en plus improbables, SRM pourrait devenir une option à considérer.

Ce qui reste à préciser

Les impacts régionaux de la SRM restent incertains.
Des engagements internationaux à long terme seraient nécessaires pour toute mise en œuvre.

Citation

« Les techniques de SRM pourraient réduire les températures, mais elles ne remplacent pas les réductions d’émissions. » — Professeur Keith Shine, Royal Society, 2025.