Des scientifiques canadiens découvrent une méthode de chasse inédite chez les loups
Mise à jour le 2025-11-21 17:51:00 : Des loups en Colombie-Britannique utilisent des techniques de chasse surprenantes. Ce comportement pourrait avoir des implications importantes pour la compréhension de l’intelligence animale.
Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.
Une étude récente a révélé que des loups en Colombie-Britannique ont développé une méthode de chasse innovante. Ces animaux, observés par des scientifiques et des membres de la Première Nation Heiltsuk, utilisent des outils pour accéder à leur nourriture. Ce comportement pourrait changer notre perception de l’intelligence animale. Les chercheurs soulignent que ces loups ont plus de temps pour expérimenter, étant moins exposés aux dangers humains.
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : Des loups utilisent des outils pour chasser des proies en Colombie-Britannique.
- Qui est concerné : Les scientifiques, les écologistes et le grand public intéressé par la faune.
- Quand : Depuis début 2023, avec des observations récentes en 2025.
- Où : Ouest du Canada, province de la Colombie-Britannique.
Chiffres clés
- 1 étude publiée dans la revue Ecology and Evolution sur ce comportement.
- Plusieurs vidéos captées en mai 2024 montrant les loups en action.
Concrètement, pour vous
- Ce qui change : Une nouvelle compréhension de l’intelligence animale et de l’écologie.
- Démarches utiles : Suivre les recherches sur le comportement animal.
Contexte
Ouest du Canada, région reculée de la province de la Colombie-Britannique. Depuis début 2023 et l’installation de pièges à crabes verts – une espèce envahissante qui menace l’écosystème local – par les Heiltsuk, un peuple autochtone local vivant le long de la côte, le mystère demeure. Qui s’amuse à vandaliser les filets ? Qui est ce mystérieux prédateur qui, régulièrement, extirpe hors de l’eau ces pièges et en dévore son contenu une fois sur le rivage ? Et pourquoi, à chaque fois, les dégâts concernent les filets contenant des morceaux de harengs ou d’otaries, qui servent d’appâts ? L’identité des voleurs est aujourd’hui connue : le Canis lupus. Et non un prédateur marin, comme longtemps envisagé. Dans une étude publiée lundi 17 novembre dans la revue Ecology and Evolution, plusieurs scientifiques associés à la Première Nation Heiltsuk révèlent en effet que des loups sont derrière ces méfaits.
Sources
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Date de publication : 2025-11-21 17:51:00
Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Article vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.
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