Découvrez «L’amour et la vermine» : la BD qui fait rire et réfléchir

Introduction : Le 20 octobre 2025, Sébastien Bordenave a mis en lumière une bande-dessinée intrigante, «L’amour et la vermine», lors de son émission sur Europe 1. Cette œuvre, signée Will Mcfil, promet d’allier humour et critique sociale à travers des dessins percutants. Plongez dans l’univers décalé de cet artiste qui réinvente le regard sur la vermine.

Ce qu’il faut retenir

«L’amour et la vermine» est un best-of des 250 meilleurs dessins publiés dans le New Yorker.
Will Mcfil, l’auteur, a un style unique qui mélange humour absurde et observations sociales.
Le titre original envisagé était «sexe et pigeon», mais l’éditeur a opté pour une version plus intrigante.
La BD aborde des thèmes comme l’apparence et la beauté à travers des personnages souvent jugés comme «vermine».
Les dessins de Mcfil sont à la fois drôles et critiques, invitant à la réflexion sur notre société.

Faits vérifiés

La bande-dessinée «L’amour et la vermine» a été saluée par plusieurs critiques pour son originalité et son humour incisif. Des médias tels que Le Monde et France 24 ont souligné le talent de Will Mcfil, qui a réussi à capturer l’essence de l’actualité avec finesse. Le New Yorker, où il a publié ses dessins, est reconnu pour sa rigueur artistique, acceptant seulement 10 % des propositions de dessinateurs.

Le détail qui fait réagir

Un dessin marquant montre un cheval regardant dans la direction opposée de sa remorque, déclarant : «Hm, c’est vraiment le monde à l’envers ici.» Cette image illustre parfaitement le ton satirique de l’œuvre et invite à une réflexion sur notre réalité.

Réactions officielles et citations

« Will Mcfil réussit à faire rire tout en nous poussant à réfléchir sur notre société. » — Sébastien Bordenave, Europe 1, 20 octobre 2025.

Analyse & Contexte

«L’amour et la vermine» ne se contente pas d’être une simple bande-dessinée ; elle questionne notre rapport à l’apparence et à la beauté dans un monde où l’authenticité est souvent mise de côté. En utilisant des personnages jugés comme «vermine», Mcfil nous rappelle que la valeur d’un être vivant ne se mesure pas à son apparence. Cette approche audacieuse attire l’attention et suscite des discussions sur les normes sociales contemporaines.