Début tumultueux pour le comité sur les allégations Mkhwanazi

Introduction : Le 7 octobre 2025, à Pretoria, le comité ad hoc du Parlement sud-africain a suspendu ses travaux alors que des tensions émergent autour des allégations de corruption au sein de la SAPS. La députée Leigh Ann Mathys de l’EFF insiste sur la nécessité d’une procédure rigoureuse pour éviter des contestations futures.

Ce qu’il faut retenir

Le comité a été interrompu avant même que Nhlanhla Mkhwanazi ne puisse témoigner.
Des objections ont été soulevées concernant la validité des documents présentés.
Le leader de l’EFF, Julius Malema, a dénoncé des irrégularités légales dans le processus.
Mathys a averti que le comité ne doit pas devenir un simple “cache-misère” pour le gouvernement.
Le délai pour soumettre un rapport au Parlement est fixé à fin octobre, ajoutant à la pression.

Faits vérifiés

Selon des sources fiables comme l’AFP et Reuters, le comité ad hoc a été mis en place pour examiner les allégations de corruption au sein de la SAPS. Les objections à la légitimité des documents soumis pourraient compromettre l’intégrité des conclusions du comité. L’EFF, qui a appelé à la création de ce comité, insiste sur l’importance d’une enquête approfondie.

Le détail qui fait réagir

Le fait que le document soumis par Mkhwanazi n’ait pas été signé a soulevé des inquiétudes majeures, remettant en question sa validité et la responsabilité future de son contenu.

Réactions officielles et citations

« Nous ne permettrons pas que cet ad hoc committee soit un simple cache-misère. » — Leigh Ann Mathys, Députée EFF, 7 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette situation met en lumière les tensions politiques en Afrique du Sud, où la lutte contre la corruption est cruciale pour la confiance publique. Les enjeux sont d’autant plus importants que les résultats de ce comité pourraient influencer des décisions judiciaires futures et la perception de l’intégrité des institutions publiques.