Crise à Maurice : Le Reform Party dénonce l’inaction gouvernementale

Introduction : Le 18 octobre 2025, à Maurice, le Reform Party a tenu une conférence de presse marquante. Le leader Roshi Bhadain a exprimé des préoccupations majeures concernant la crise énergétique et la cherté de la vie, pointant du doigt l’inaction de l’exécutif. Les promesses électorales non tenues sont au cœur des critiques.

Ce qu’il faut retenir

Le Reform Party accuse le gouvernement de ne pas avoir réduit les tarifs de l’électricité comme promis.
La Contribution Sociale Généralisée (CSG) sera réduite de 2 000 à 1 000 roupies, impactant le pouvoir d’achat des ménages.
Le seuil d’enregistrement à la TVA a été abaissé, ce qui pourrait nuire aux petites entreprises.
La capacité énergétique nationale n’a pas été augmentée depuis plus d’une décennie, entraînant des délestages.
Roshi Bhadain appelle à une planification à long terme pour éviter la crise énergétique.

Faits vérifiés

Des médias tels que l’AFP et France 24 rapportent que le Reform Party a critiqué le gouvernement pour son incapacité à respecter ses engagements électoraux, notamment en matière d’électricité. Les préoccupations concernant la CSG et la TVA ont également été confirmées par plusieurs sources fiables.

Le détail qui fait réagir

La réduction de la CSG de 2 000 à 1 000 roupies, soit environ 22 dollars, est un chiffre qui interpelle, car il pourrait aggraver la situation économique des ménages déjà fragilisés par la hausse des coûts de la vie.

Réactions officielles et citations

« Le gouvernement a échoué à honorer ses promesses, et cela affecte directement la vie des Mauriciens » — Roshi Bhadain, Leader du Reform Party, 18 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette situation met en lumière les tensions politiques à Maurice, où l’opposition utilise la crise énergétique et la cherté de la vie pour mobiliser l’électorat. Le manque d’investissement dans le secteur énergétique soulève des questions sur la durabilité des politiques gouvernementales, attirant l’attention des citoyens et des médias.