29.12.2025 Cédric Balcon-Hermand 21 Views 0 Comments

Crash mortel près d’Ankara : deux Français et le chef d’état-major libyen parmi les victimes, enquête internationale en cours

Deux Français, une Grecque et le chef d’état-major libyen ont péri dans un accident d’avion en Turquie. Les causes restent à déterminer.

Un avion privé transportant le chef d’état-major libyen et ses conseillers s’est écrasé près d’Ankara, tuant tous les passagers. Deux Français et une Grecque figuraient parmi l’équipage. Cet accident soulève des questions sur la sécurité des vols privés et l’impact sur les relations internationales. Une enquête technique est en cours, avec la participation d’experts français et turcs. Les résultats de la boîte noire sont attendus pour comprendre les circonstances exactes du drame.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Un Falcon 50 s’est écrasé près d’Ankara, causant la mort de huit personnes, dont deux Français et le chef d’état-major libyen.
Qui est concerné : Les familles des victimes, les autorités libyennes, françaises, turques et le secteur de l’aviation civile.
Quand : Mardi soir, moins de quarante minutes après le décollage.
Où : Près d’Ankara, Turquie.

Chiffres clés

8 personnes décédées dans le crash, dont 2 Français, 1 Grecque, 1 chef d’état-major et 4 conseillers.
Moins de 40 minutes de vol avant l’accident.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Surveillance accrue sur la sécurité des vols privés et coopération internationale renforcée en cas d’accident.
Démarches utiles : Les familles peuvent se rapprocher des autorités consulaires pour information et accompagnement.
Risques si vous n’agissez pas : Pas de risque direct pour le grand public, mais vigilance recommandée pour les voyageurs et opérateurs aériens.
Exceptions : Non mentionnées.

Contexte

L’avion, un Falcon 50 affrété par Harmony Jets (Malte), assurait la liaison pour le chef d’état-major libyen Mohamed Al-Haddad et ses conseillers. L’appareil a subi une panne électrique avant de s’écraser. La boîte noire a été retrouvée et sera analysée dans un pays neutre, selon les autorités turques. La maintenance de l’avion était réalisée à Lyon. Le Bureau d’enquêtes et d’analyses français (BEA) participe à l’enquête, comme le prévoit la procédure pour les avions de conception française impliqués à l’étranger.