18.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 Views 0 Comments

COP30 au Brésil : les peuples autochtones cherchent à faire entendre leur voix

Mise à jour le 2025-11-18 15:18:00 : Près de 900 représentants autochtones sont présents à la COP30, mais peinent à se faire entendre.

Près de 900 représentants de peuples autochtones sont accrédités à la COP30, à Belem, un chiffre record. Cette présence est cruciale pour les négociations climatiques. Cependant, certains déplorent la difficulté à faire entendre leurs préoccupations. Cela soulève des enjeux importants pour l’avenir de l’environnement et des droits des peuples autochtones.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Près de 900 représentants autochtones participent à la COP30.
Qui est concerné : Les peuples autochtones et les négociateurs climatiques.
Quand : En cours, à partir de novembre 2025.
Où : Belem, Brésil.

Chiffres clés

900 représentants autochtones accrédités à la COP30.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Une plus grande visibilité pour les préoccupations autochtones.
Démarches utiles : Participation aux discussions et plaidoyer.
Risques si vous n’agissez pas : Ignorer les voix autochtones peut nuire aux négociations.

Contexte

La COP30 se déroule dans un contexte de crise climatique. Les peuples autochtones, souvent gardiens de la biodiversité, cherchent à influencer les décisions qui les concernent directement. Leur participation est essentielle pour intégrer leurs perspectives dans les politiques environnementales.

Ce qui reste à préciser

Comment les préoccupations des peuples autochtones seront-elles intégrées dans les décisions finales ?
Quelles mesures seront prises pour garantir leur voix dans les futures négociations ?