25.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 Views 0 Comments

Comprendre le contrôle coercitif : un fléau invisible des violences conjugales

Mise à jour le 2025-11-25 15:53:00 : Les violences conjugales persistent même après la séparation, impactant des milliers de femmes.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Les violences conjugales ne s’arrêtent pas toujours avec la rupture. De nombreuses femmes continuent de subir des violences, parfois des années après. Ce phénomène est souvent lié au contrôle coercitif, un mécanisme insidieux qui vise à détruire l’individualité de la victime.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Près de huit femmes sur dix subissent encore des violences après une séparation.
Qui est concerné : Les femmes victimes de violences conjugales.
Quand : En 2019, selon des études récentes.
Où : En Belgique.

Chiffres clés

80 % des femmes victimes de violence vivent encore des violences après la séparation (2019).

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Les victimes peuvent toujours être en danger même après la séparation.
Démarches utiles : Contacter des associations de soutien.
Risques si vous n’agissez pas : Risque de violences physiques ou psychologiques continues.

Contexte

Marie Denis, psychologue, souligne que les victimes s’adaptent souvent au comportement de leur agresseur. Cela les amène à perdre leur identité et leur autonomie. Ce phénomène de contrôle coercitif est un refus d’individualité de la part de l’agresseur.

Ce qui reste à préciser

Les mécanismes de contrôle coercitif peuvent varier d’une relation à l’autre.
Les conséquences psychologiques peuvent perdurer longtemps après la séparation.

Citation

« Les mécanismes d’adaptation de la victime vont faire qu’au bout d’un moment, elle va rentrer dans ce schéma d’abnégation de soi. » — Marie Denis, psychologue.