La Loi sur la Sécurité des Enfants en Ligne : Un Pas Vers la Protection

Introduction : Le 10 octobre 2025, le podcast “Ending Sexploitation” a révélé des enjeux cruciaux autour de la Kids Online Safety Act (KOSA). Ce projet de loi vise à protéger les enfants des dangers en ligne, mais fait face à une résistance significative de la part des géants de la technologie. Avec des experts à l’appui, l’urgence d’une action législative est plus que jamais pressante.

Ce qu’il faut retenir

KOSA est la législation la plus complète sur la protection des enfants en ligne depuis 25 ans.
Des experts affirment que 40 % des enfants de moins de 13 ans sont sur Facebook et Instagram, malgré les promesses de sécurité des plateformes.
Le projet de loi impose une “devoir de soin” aux entreprises technologiques pour protéger les jeunes utilisateurs.
Les parents pourront désactiver les algorithmes de recommandation, un changement majeur pour la sécurité des enfants.
Des millions de dollars sont investis par Big Tech pour combattre cette législation, soulignant l’importance de la mobilisation citoyenne.

Faits vérifiés

Des enquêtes menées par des médias tels que Reuters et BBC révèlent que les plateformes sociales échouent à protéger les enfants, malgré des promesses répétées. Les documents internes montrent que les entreprises sont conscientes des dangers, mais choisissent de ne pas agir. La loi KOSA vise à changer cela en imposant des responsabilités claires.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : 95 % des enfants âgés de 13 à 15 ans utilisent les réseaux sociaux, et ceux qui y passent plus de 3 heures par jour risquent de souffrir de problèmes de santé mentale. Ce constat alarmant souligne l’urgence d’une régulation efficace.

Réactions officielles et citations

« La sécurité des enfants en ligne ne devrait pas être une option, mais une obligation. » — Dani Pinter, Directrice du NCOSE Law Center, 10 octobre 2025.

Analyse & Contexte

La KOSA représente un tournant dans la régulation des technologies, en mettant l’accent sur la responsabilité des entreprises envers les jeunes utilisateurs. Alors que les débats autour de la liberté d’expression continuent, la nécessité de protéger les enfants des contenus nuisibles devient primordiale. Ce projet de loi pourrait établir un précédent pour d’autres législations similaires à l’avenir.