23.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 13 Views 0 Comments

Colonialisme vert : les peuples autochtones en première ligne

Introduction : Le 6 octobre 2025, en Inde et en Norvège, des peuples autochtones se lèvent contre ce qu’ils appellent le « colonialisme vert ». Alors que la police démantèle un village Jenu Kuruba pour protéger les tigres, les Samis luttent contre une mine de cuivre menaçant leur mode de vie. Ces événements soulèvent des questions cruciales sur les droits des peuples autochtones face aux projets écologiques.

Ce qu’il faut retenir

En Inde, le village Jenu Kuruba a été démantelé pour protéger les tigres, un animal sacré pour ce peuple.
En Norvège, des Samis s’opposent à une mine de cuivre qui polluerait le fjord et perturberait l’élevage de rennes.
Les autorités qualifient ces projets de « transition verte », mais les autochtones dénoncent un nouveau colonialisme.
Des témoignages révèlent des violations des droits humains et un manque de consultation des communautés concernées.
Ces luttes mettent en lumière le conflit entre développement économique et respect des cultures ancestrales.

Faits vérifiés

Des médias tels que France 24 et Reuters rapportent que le démantèlement du village Jenu Kuruba a été justifié par la nécessité de protéger les tigres. En Norvège, la mine de cuivre a reçu des permis malgré les préoccupations des Samis concernant la pollution et l’impact sur leur élevage de rennes. Ces événements illustrent un schéma récurrent où les droits des peuples autochtones sont souvent ignorés au profit d’intérêts économiques.

Le détail qui fait réagir

Un témoignage poignant d’un membre de la communauté Jenu Kuruba souligne que « la forêt n’est pas un profit, mais une partie de nous ». Cette phrase résonne comme un cri de ralliement contre l’exploitation des terres ancestrales.

Réactions officielles et citations

« Ce que nous vivons aujourd’hui est une nouvelle forme de colonialisme. » — Activiste autochtone, 2025.

Analyse & Contexte

Ces luttes révèlent un enjeu majeur : la tension entre la nécessité de protéger l’environnement et le respect des droits des peuples autochtones. Alors que le monde se tourne vers des solutions écologiques, il est crucial de ne pas sacrifier les cultures ancestrales sur l’autel du progrès. Ces événements font le buzz car ils interpellent sur la justice sociale et environnementale, incitant à une réflexion sur nos choix collectifs.