Carnage à Grenoble : L’Immeuble Abandonné de la Rue André Rivoire

Introduction : Le 21 octobre 2025, les habitants de la rue André Rivoire à Grenoble expriment leur désespoir face à un immeuble abandonné par la mairie. La sécurité et la propreté sont devenues des enjeux cruciaux pour ces résidents, qui se battent pour leur qualité de vie. Un véritable cri d’alarme résonne dans ce quartier autrefois paisible.

Ce qu’il faut retenir

Les entrées de l’immeuble ne sont plus sécurisées depuis plus d’un an, laissant place à l’insécurité.
Deux épaves occupent le parking privé, et la responsabilité de leur enlèvement est renvoyée entre Actis et la police municipale.
Des trafiquants ont failli s’installer dans le hall de l’immeuble, et des tirs ont été entendus dans le garage souterrain.
La solidarité des habitants a permis de chasser les trafiquants, mais le garage reste inutilisable en raison de l’absence de travaux.
Actis, dirigé par Pierre Bejjaji, est accusé de négligence face à la détérioration du quartier.

Faits vérifiés

Des témoignages recueillis sur place confirment que la sécurité de l’immeuble est compromise. Des médias tels que France 24 et Le Monde ont rapporté des problèmes similaires dans d’autres quartiers gérés par Actis, soulignant une tendance inquiétante dans la gestion des logements sociaux à Grenoble.

Le détail qui fait réagir

Un habitant a déclaré : « Dans cet immeuble, on tirait dans le parking ! » Cette phrase choc illustre l’ampleur de la dégradation de la sécurité dans ce quartier.

Réactions officielles et citations

« Nous avons alerté Actis à plusieurs reprises, mais rien ne change. » — Smain, résident, 21 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette situation met en lumière les enjeux de la gestion des logements sociaux à Grenoble. Alors que la ville se veut une « capitale verte », les habitants vivent dans l’insécurité et l’insalubrité. Ce contraste soulève des questions sur l’efficacité des politiques publiques et la responsabilité des bailleurs sociaux.