Budget 2026 : Lecornu défend la démocratie à l’Assemblée

Introduction : Le 31 octobre 2025, à l’Assemblée nationale, Sébastien Lecornu a pris la parole pour défendre le budget 2026. Au cœur de son discours, le rejet de la taxe Zucman soulève des questions cruciales sur la démocratie et la fiscalité en France.

Ce qu’il faut retenir

Sébastien Lecornu affirme que “la démocratie, c’est 50 % plus une voix”, rejetant l’idée d’un coup de force démocratique.
Le Conseil d’État a jugé que des amendements liés à la taxe Zucman n’étaient pas constitutionnels.
Le Premier ministre appelle à cesser de “déconnecter les dépenses et les recettes” pour une meilleure transparence budgétaire.
Il dénonce le cynisme autour de la promesse d’un impôt miracle pour rétablir la justice fiscale.
Aucun impôt à fort rendement de 10 ou 15 milliards d’euros n’est jugé constitutionnel selon Lecornu.

Faits vérifiés

Les déclarations de Sébastien Lecornu ont été rapportées par plusieurs médias, dont l’AFP et Le Monde. Ces sources confirment que le Conseil d’État a effectivement déclaré non constitutionnels certains amendements liés à la taxe Zucman, renforçant ainsi l’argumentation du gouvernement sur la nécessité d’une fiscalité juste et respectueuse des libertés.

Le détail qui fait réagir

Une phrase choc de Lecornu a particulièrement marqué les esprits : “Vous ne pouvez pas faire entendre à nos concitoyens qu’il existe un impôt miracle pour rétablir la justice fiscale.” Cette déclaration souligne le fossé entre les attentes des citoyens et la réalité des solutions fiscales proposées.

Réactions officielles et citations

« La Constitution ne protège pas des privilèges, elle protège des libertés. » — Sébastien Lecornu, Premier ministre, 31 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Ce discours met en lumière des enjeux cruciaux pour l’avenir fiscal de la France. En rejetant la taxe Zucman, le gouvernement souligne la nécessité d’une approche réaliste et constitutionnelle des finances publiques. La tension entre les promesses politiques et les réalités budgétaires est palpable, et ce débat pourrait influencer les prochaines élections.