Brésil : 132 morts lors d’une opération policière à Rio

Introduction : Le 29 octobre 2025, Rio de Janeiro a été le théâtre d’une opération policière sans précédent, entraînant la mort d’au moins 132 personnes. Cette intervention, la plus meurtrière de l’histoire de la ville, suscite une onde de choc au sein de la population et des critiques acerbes des ONG. Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a exprimé son horreur face à ce bilan tragique.

Ce qu’il faut retenir

Une opération massive impliquant 2500 agents des forces de l’ordre a été menée dans une favela de Rio.
Au moins 132 personnes ont perdu la vie, soulevant des questions sur les méthodes policières.
Des ONG dénoncent une violence excessive et des victimes innocentes parmi les morts.
Le gouverneur de Rio défend l’opération, minimisant les erreurs d’identification.
L’ONU appelle à une enquête pour clarifier les circonstances de cette tragédie.

Faits vérifiés

Selon des sources fiables telles que l’AFP et France 24, l’opération a été décrite comme une réponse à la montée de la criminalité liée aux narcotrafiquants. Les autorités ont déployé des blindés et des hélicoptères pour faire face à l’un des principaux groupes criminels de la région. Les témoignages des habitants révèlent une atmosphère de peur et de colère face à la violence policière.

Le détail qui fait réagir

Le chiffre de 132 morts est non seulement choquant, mais il représente également une escalade alarmante de la violence dans une ville déjà marquée par des conflits entre la police et les narcotrafiquants. Ce bilan tragique soulève des interrogations sur l’efficacité et l’humanité des méthodes utilisées par les forces de l’ordre.

Réactions officielles et citations

« La police ne devrait pas tuer les gens, prendre la vie de personne » — Un habitant de la favela, 30 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette opération met en lumière les tensions persistantes entre la police et les communautés marginalisées à Rio. Le recours à la force létale soulève des questions éthiques et politiques, notamment sur la manière dont les autorités gèrent la lutte contre la criminalité. La réaction internationale, notamment celle de l’ONU, souligne l’importance d’une enquête indépendante pour éviter que de tels événements ne se reproduisent.