29.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 Views 0 Comments

Black Friday : Une frénésie alimentée par la peur du manque

Mise à jour le 2025-11-28 08:03:00 : Le Black Friday, symbole de surconsommation, soulève des questions sur notre rapport à la consommation.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Le Black Friday est devenu une institution. Chaque année, il revient comme une étrange liturgie marchande : une journée où l’on nous invite à célébrer la « bonne affaire » comme s’il s’agissait d’une joie partagée. Cette fête de l’abondance survient pourtant dans un monde à bout de souffle : épuisement écologique, épuisement social, épuisement psychique. À quoi répond ce rituel consumériste pour qu’il prenne une telle place dans nos vies ? Que dit-il de nos sociétés extractivistes d’hyperconsommation ? De quoi est-il le symptôme ?

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Le Black Friday incarne une logique de surconsommation exacerbée.
Qui est concerné : Tous les consommateurs, en particulier ceux utilisant les réseaux sociaux.
Quand : Chaque année, à la fin novembre.
Où : Principalement dans les pays occidentaux.

Chiffres clés

80 % des consommateurs se sentent pressés d’acheter pendant le Black Friday.
Les ventes en ligne augmentent de 20 % chaque année pendant cette période.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Les promotions peuvent inciter à des achats impulsifs.
Démarches utiles : Évaluer ses besoins avant d’acheter.
Risques si vous n’agissez pas : Dépenses excessives et regrets d’achats.

Contexte

Le Black Friday, qui s’étale désormais sur plusieurs jours, est un exemple frappant de la manière dont la logique de surconsommation s’infiltre dans notre quotidien. À toute heure, nous sommes envahis d’offres promotionnelles ciblées, grâce aux algorithmes. Ce phénomène n’est pas seulement économique, mais un symptôme de notre difficulté à donner du sens à nos vies autrement que par l’achat.