29.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 Views 0 Comments

Baybridge : des centaines de sites chinois diffusent une propagande pro-russe et pro-chinoise

Une étude cartographie un vaste réseau de faux sites, menace la confiance.

IRSEM et Tadaweb publient l’étude Baybridge le 7 novembre 2025.
Elle détaille un réseau complexe de diffusion.
Des centaines de sites servent à propager des récits pro-russes et pro-chinois.
Cette opération pose un risque pour la confiance et la sécurité de l’information.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : L’étude Baybridge identifie des centaines de faux sites organisés en réseau.
Qui est concerné : Le grand public, les médias et les plateformes numériques.
Quand : Publication du rapport et révélations le 7 novembre 2025.
Où : Origine identifiée en Chine, opérations en ligne diffusées mondialement.

Chiffres clés

Des centaines de sites impliqués (rapport Baybridge, 7 novembre 2025).
Des milliers d’articles stockés et diffusés via cet écosystème numérique.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : La véracité des contenus en ligne peut être altérée.
Démarches utiles : Vérifiez l’origine des articles et croisez les sources.
Risques si vous n’agissez pas : Partage de contenus trompeurs et affaiblissement de la confiance.
Exceptions : Certains contenus authentiques peuvent circuler via les mêmes canaux.

Contexte

Le rapport identifie un écosystème chinois composé d’agences de marketing digital.
Deux acteurs principaux sont nommés : Haixun et Haimai, à Shenzhen et Shanghai.
Les chercheurs relèvent des liens avec des organes de propagande locaux du PCC.
Mais l’enquête indique que le projet ne semble pas rattaché aux plus hautes sphères du pouvoir.

Ce qui reste à préciser

Le niveau exact de coordination entre agences et décideurs politiques supérieurs.
Le financement précis et l’impact réel sur les audiences ciblées.

Citation

« Il s’agit de mieux connaître les modes opératoires de la désinformation afin d’être en mesure d’évaluer la menace et d’adapter la riposte. » — Paul Charon, IRSEM