25.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 17 Vues 0 commentaires

Avoirs russes saisis : financer un «prêt de réparation» pour l’Ukraine, option défendue en Europe

Une tribune propose d’utiliser les actifs russes confisqués pour un «prêt de réparation» visant la reconstruction et la défense de l’Ukraine.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Une économiste plaide pour mobiliser les avoirs russes confisqués. Objectif : financer un «prêt de réparation» au bénéfice de l’Ukraine. Le sujet touche directement les contribuables européens et la sécurité du continent. Les décisions éventuelles relèveront d’instances européennes et nationales.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : une tribune propose d’utiliser les actifs russes saisis pour financer un «prêt de réparation» à l’Ukraine.
Qui est concerné : institutions européennes, États membres, contribuables, Ukraine et partenaires de sécurité.
Quand : proposition publiée le 24 octobre 2025.
Où : Europe et Ukraine.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : rien d’immédiat ; il s’agit d’une proposition débattue publiquement.
Démarches utiles : suivre les positions des institutions européennes et des gouvernements.
Risques si vous n’agissez pas : aucun signalé à ce stade pour les particuliers.
Exceptions : non mentionnées dans le contenu fourni.

Contexte

La tribune, publiée le 24 octobre 2025, soutient qu’un «prêt de réparation» adossé aux avoirs russes confisqués serait une option pragmatique et juste. Elle met en avant la reconstruction du pays et le soutien à sa défense comme finalités.

Ce qui reste à préciser

Le cadre juridique détaillé du «prêt de réparation» et ses modalités d’application.
Le calendrier décisionnel et les mécanismes de gouvernance envisagés.

Citation

« Utiliser les actifs russes pour financer un «prêt de réparation» est une solution à la fois pragmatique et juste pour reconstruire l’Ukraine et assurer sa défense, plaide la professeure d’économie Olena Havrylchyk. » — Libération, 24 octobre 2025.