30.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 25 Views 0 Comments

Arabie saoudite: réformes visibles, dissidence criminalisée et record d’exécutions

Réformes visibles, mais la dissidence reste criminalisée, avec 345 exécutions en 2024.

Le Monde diplomatique décrit une modernisation sociale encadrée par une répression. La critique de la famille royale expose à de lourdes peines. Conséquences possibles pour résidents et voyageurs: arrestations, procès, voire peine capitale.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : La dissidence est assimilée au terrorisme, avec peine de mort possible.
Qui est concerné : Résidents, travailleurs, militants et usagers des réseaux sociaux.
Quand : 2024 pour 345 exécutions; tendance susceptible d’augmenter en 2025.
Où : Arabie saoudite.

Chiffres clés

345 exécutions — année 2024.
10 ans de prison — peine infligée au chauffeur Uber cité.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Des réformes existent, mais la parole publique reste étroitement surveillée.
Démarches utiles : Prudence sur les réseaux sociaux; éviter les critiques de la famille royale.
Risques si vous n’agissez pas : Arrestation, longues peines, possible accusation de terrorisme.
Exceptions : Non mentionné.

Contexte

Selon l’extrait, la critique de la famille royale est sévèrement punie. La dissidence est qualifiée d’acte « terroriste », passible de la peine de mort. Le pays a procédé à 345 exécutions en 2024, un record depuis trente ans, possiblement dépassé en 2025.