Anissa Baderi : L’encadrement des loyers à Lille, un enjeu crucial

Introduction : Le 10 octobre 2025, lors du Conseil Municipal de Lille, Anissa Baderi a pris la parole pour défendre le prolongement de l’expérimentation de l’encadrement des loyers. Ce dispositif, déjà en place dans plusieurs villes, vise à protéger les jeunes locataires face à la flambée des prix. Un sujet qui suscite de vives réactions et un débat essentiel sur le pouvoir d’achat.

Ce qu’il faut retenir

La ville de Lille a été pionnière en matière d’encadrement des loyers, aux côtés de Paris.
Selon l’observatoire local, le volume des logements non conformes a chuté à 22 %.
Les loyers à Lille ont diminué de 4 % grâce à cette mesure, selon une étude de l’atelier parisien d’urbanisme.
Anissa Baderi appelle à la pérennisation de ce dispositif pour soutenir les jeunes locataires.
La ville fait partie d’une alliance avec d’autres grandes villes françaises pour renforcer cette initiative.

Faits vérifiés

Des médias tels que Le Monde et France 24 ont confirmé que l’encadrement des loyers à Lille a montré des résultats positifs, notamment en matière de réduction des loyers et de conformité des logements. Ce dispositif, instauré par la loi Élan, a été soutenu par plusieurs villes françaises, renforçant ainsi son impact à l’échelle nationale.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : 22 % des logements non conformes à Lille, un indicateur fort de l’efficacité de l’encadrement des loyers. Ce chiffre illustre l’impact direct de cette politique sur le marché locatif local.

Réactions officielles et citations

« Nous souhaitons que l’encadrement des loyers devienne une priorité pour le gouvernement » — Anissa Baderi, Conseillère municipale, 10 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette intervention d’Anissa Baderi met en lumière un enjeu social majeur : le pouvoir d’achat des jeunes locataires. Dans un contexte où les loyers continuent d’augmenter, la pérennisation de l’encadrement des loyers pourrait offrir une bouffée d’air frais à ceux qui peinent à se loger. Le débat autour de cette mesure est donc non seulement politique, mais aussi profondément humain, touchant des milliers de jeunes dans la métropole lilloise.