Amour et criminels : pourquoi ces femmes sont fascinées ?

Introduction : Le 23 novembre 2025, une enquête de TF1 INFO dévoile un phénomène troublant : des femmes tombent amoureuses de meurtriers. De Salah Abdeslam à Cédric Jubillar, ces relations soulèvent des questions sur la psychologie humaine et les traumatismes passés. Comment expliquer cette attirance pour l’horreur ?

Ce qu’il faut retenir

Des femmes, comme Séverine et Claudine, entretiennent des relations amoureuses avec des criminels notoires.
L’hybristophilie, attirance pour les criminels, est souvent liée à des traumatismes personnels.
Des lettres d’admiration et des déclarations d’amour affluent vers les détenus, révélant une fascination inquiétante.
Des figures historiques comme Henri Désiré Landru ont reçu des centaines de demandes en mariage, illustrant ce phénomène ancien.
La psychiatrie explique que ces femmes cherchent à réparer un manque d’affection dans leur passé.

Faits vérifiés

Des médias tels que Le Monde et France 24 rapportent que des femmes comme Séverine, qui a écrit à Cédric Jubillar, se disent attirées par l’idée de découvrir la vérité derrière des crimes. Selon Sarah Smadja, psychiatre, ces femmes partagent souvent des expériences traumatisantes qui influencent leur attirance pour des criminels.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : Henri Désiré Landru, tueur en série, a reçu 800 demandes en mariage avant son exécution, illustrant l’ampleur de cette fascination.

Réactions officielles et citations

« Ces femmes voient souvent derrière le monstre une personne à sauver. » — Sarah Smadja, Psychiatre, 2025.

Analyse & Contexte

Ce phénomène soulève des questions profondes sur la psychologie humaine et la recherche d’affection. La fascination pour les criminels peut être perçue comme un reflet des traumatismes personnels, et cette enquête met en lumière des dynamiques sociales complexes qui interpellent la société. Pourquoi certaines femmes choisissent-elles de s’engager avec des hommes condamnés pour des crimes atroces ? Cela soulève des débats sur la nature de l’amour et du soutien.