24.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 5 Views 0 Comments

La montée mondiale des aliments ultra-transformés soulève des inquiétudes sanitaires urgentes

Mise à jour le 2025-11-24 09:07:00 : Les experts alertent sur l’essor rapide des aliments ultra-transformés, menaçant la santé publique.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Les aliments ultra-transformés (UPFs) remplacent rapidement les repas frais dans le monde. Cela entraîne une baisse de la qualité nutritionnelle et une hausse des maladies chroniques.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Les UPFs sont liés à une mauvaise qualité alimentaire et à des risques accrus de maladies chroniques.
Qui est concerné : La population mondiale, en particulier les consommateurs de produits alimentaires.
Quand : Actuellement, avec des tendances croissantes observées depuis plusieurs décennies.
Où : Partout dans le monde, avec des augmentations notables en Espagne, Chine, Mexique et Brésil.

Chiffres clés

Proportion d’énergie alimentaire provenant des UPFs : Espagne (11% à 32%) et Chine (4% à 10%) sur 30 ans.
Aux États-Unis et au Royaume-Uni, les UPFs représentent plus de 50% de l’alimentation depuis 20 ans.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Augmentation des risques de maladies chroniques liées à la consommation d’UPFs.
Démarches utiles : Privilégier les aliments frais et minimaux dans votre alimentation.
Risques si vous n’agissez pas : Augmentation potentielle de problèmes de santé comme l’obésité et le diabète.

Contexte

Les UPFs, produits d’un système alimentaire industriel, remplacent les aliments frais. Les experts appellent à une action publique immédiate pour contrer cette tendance.

Ce qui reste à préciser

Les effets à long terme de la consommation d’UPFs sur la santé publique.
Les politiques spécifiques à mettre en œuvre pour réduire la consommation d’UPFs.

Citation

« Le changement dans ce que les gens mangent est alimenté par de puissantes corporations mondiales. » — Professeur Carlos Monteiro, Université de Sao Paulo, date non fournie.