22.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 3 Views 0 Comments

Tanzanie: à Nairobi, des ONG dénoncent des violences depuis les élections

Des ONG se sont réunies à Nairobi pour dénoncer des exactions présumées en Tanzanie, dans un contexte de vérifications difficiles.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Des organisations de la société civile se sont retrouvées à Nairobi pour dénoncer des violences attribuées à la présidence de Samia Suluhu. Les informations restent difficiles à vérifier, les journalistes ne pouvant pas travailler librement en Tanzanie. Cette situation concerne la sécurité et l’accès à une information fiable pour les citoyens et observateurs de la région. Des précisions sont annoncées par le correspondant régional de France 24, Bastien Renouil.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : mobilisation d’ONG à Nairobi contre des violences présumées en Tanzanie.
Qui est concerné : société civile africaine, organisations de défense des droits de l’homme, autorités tanzaniennes citées.
Quand : lundi après-midi, après les élections de fin octobre.
Où : rassemblement à Nairobi (Kenya) au sujet de la Tanzanie.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : aucune mesure officielle n’est annoncée dans la source.
Démarches utiles : s’appuyer sur des médias reconnus et attendre des précisions vérifiées.
Risques si vous n’agissez pas : relayer des informations non vérifiées dans un contexte d’accès limité.
Exceptions : non mentionnées dans la source.

Contexte

Selon France 24, la réunion s’est tenue au Kenya car la liberté de la presse est restreinte en Tanzanie, ce qui complique la vérification des faits. Les ONG dénoncent des violences qui auraient suivi les élections de fin octobre et les attribuent à la présidence de Samia Suluhu. Le reportage est annoncé avec les précisions du correspondant régional, Bastien Renouil.

Ce qui reste à préciser

Le détail des faits allégués et les éléments matériels de preuve disponibles.
La réaction officielle complète des autorités tanzaniennes et l’accès des médias au terrain.