17.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 View 0 Comments

Les scientifiques révèlent ce qui attire vraiment notre regard sur les fesses féminines

Mise à jour le 2025-11-17 04:30:00 : Une étude récente montre que notre attention se porte sur un détail inattendu des fesses féminines.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Face à des silhouettes comme celles de Kim Kardashian ou Jennifer Lopez, combien sommes-nous à déplorer un manque de volume ou de courbe sur notre propre popotin ? La question n’est pas si anodine, quand on sait que les interventions pour modifier ses fesses ont augmenté de 20% au cours des cinq dernières années, selon les données de la Société internationale de chirurgie plastique et esthétique (ISAPS). Pourtant, ce ne serait pas forcément ce galbe que les yeux extérieurs jugent en premier sur un fessier.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Les regards se portent principalement sur le sillon interfessier.
Qui est concerné : Les personnes intéressées par l’esthétique corporelle.
Quand : Étude réalisée récemment en Europe.
Où : En Europe.

Le regard attiré par ce “trait” physique

Selon une étude menée en Europe, le ratio grosses fesses/taille fine que semblent rechercher les stars actuelles n’est pas celui que l’on regarde en premier dans la vie réelle. Une équipe de scientifiques a ainsi recruté 67 personnes hétérosexuelles, dont environ 60% étaient des femmes, et leur a montré des images de sept fesses féminines, dans le but de voir où le regard se posait.

Le résultat peut surprendre : les yeux des hommes comme des femmes ne jugeaient pas le volume ou la chute de rein comme on pourrait le penser mais se posaient plus volontiers sur le sillon interfessier. La fente interfessière n’était pas seulement la zone que les hommes et les femmes regardaient en premier, mais aussi celle où ils s’attardaient le plus longtemps.

Une explication biologique à la clé ?

Dans l’article consacré à cette étude dans la revue Aesthetic Plastic Surgery, les auteurs ont déclaré voir dans ces résultats un impératif biologique. “Biologiquement, les humains peuvent être programmés pour remarquer des attributs physiques spécifiques qui signifiaient historiquement une aptitude à la reproduction”, ont-ils écrit.

Cette découverte remet en question des hypothèses de longue date et souligne la complexité de l’attraction humaine.