19.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 3 Views 0 Comments

Les voix oubliées : autrices prolétariennes et paysannes à l’honneur

Mise à jour le 2025-11-18 00:00:00 : Une journée d’étude vise à redonner visibilité aux femmes écrivaines issues des classes dominées.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Cette journée d’étude met en lumière le rôle des femmes dans la littérature prolétarienne. Leur contribution est souvent négligée. Cela concerne la mémoire littéraire et l’émancipation. Le sujet est crucial pour la reconnaissance des voix marginalisées dans la société.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Une journée d’étude se concentre sur les autrices prolétariennes et paysannes.
Qui est concerné : Les écrivaines issues de classes dominées.
Quand : Le 18 novembre 2025.
Où : France.

Chiffres clés

Aucune donnée chiffrée disponible.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Une meilleure visibilité des autrices dans le paysage littéraire.
Démarches utiles : Participation à la journée d’étude pour enrichir vos connaissances.
Risques si vous n’agissez pas : Poursuite de l’oubli des voix féminines dans la littérature.

Contexte

Face au regain d’intérêt pour les littératures produites par des auteurs appartenant aux classes dominées, il reste un angle mort qui concerne la place spécifique réservée aux femmes. Les autrices prolétariennes, paysannes ou précaires semblent en effet doublement occultées, de par leur statut de prolétaire et leur condition de femme. Cette journée d’étude se propose de pallier à ce « déficit de mémoire » (Michelle Perrot). Elle se veut une contribution à l’histoire littéraire de l’émancipation qu’il convient de continuer à écrire. Il s’agit donc d’interroger ces œuvres variées et le parcours de leurs autrices dans leurs liens spécifiques avec l’écriture littéraire, en scrutant les enjeux littéraires et poétiques, les questions de mémoire et de représentations, mais aussi celles liées à la réception.