All Blacks en crise : L’ancien coach dénonce le manque de cohésion

Introduction : Le 20 novembre 2025, l’ancien entraîneur des All Blacks, Lorie Mains, a exprimé des critiques cinglantes sur l’équipe actuelle dirigée par Scott Robertson. Alors que la campagne du Grand Chelem s’effondre, Mains pointe du doigt un manque de stratégie et d’unité au sein du staff technique. Les fans sont en émoi face à cette situation alarmante.

Ce qu’il faut retenir

Lorie Mains accuse le staff des All Blacks de manquer de cohésion et de clarté tactique.
Les All Blacks ont perdu des matchs cruciaux après avoir pris des avances significatives, révélant des failles dans leur jeu.
Mains souligne l’absence d’un plan B face aux adversités, notamment lors des blessures de joueurs clés.
La critique va jusqu’à affirmer que les joueurs ne savent pas ce que font leurs coéquipiers sur le terrain.
Le rêve du Grand Chelem pour la Nouvelle-Zélande est désormais anéanti, suscitant des interrogations croissantes.

Faits vérifiés

Les déclarations de Lorie Mains ont été rapportées par plusieurs médias fiables, dont NZ Herald et Stuff. Ces sources confirment que l’ancien coach a exprimé des préoccupations sur la direction actuelle de l’équipe, notamment en ce qui concerne la stratégie et la communication entre les entraîneurs et les joueurs.

Le détail qui fait réagir

Une phrase choc de Mains résume la situation : « Les All Blacks jouent un rugby confus et désuni, car les entraîneurs eux-mêmes sont perdus. » Cette déclaration a provoqué une onde de choc parmi les supporters et les analystes du rugby.

Réactions officielles et citations

« Il semble qu’il n’y ait pas d’unité parmi les entraîneurs, et cela se ressent sur le terrain. » — Lorie Mains, Ancien entraîneur des All Blacks, 20 novembre 2025.

Analyse & Contexte

Cette situation met en lumière des enjeux cruciaux pour le rugby néo-zélandais, où la pression sur les entraîneurs et les joueurs est immense. La critique de Mains soulève des questions sur la gestion des équipes de haut niveau et la nécessité d’une vision collective. Les All Blacks, autrefois redoutés, semblent désormais vulnérables, ce qui pourrait avoir des répercussions sur leur réputation mondiale.