Visite de Naïma Moutchou : "Les conditions de détention riment avec nos conditions de travail", clament les agents du Camp-Est

Cédric Balcon-Hermand
13.11.2025

Visite de Naïma Moutchou : Les agents du Camp-Est dénoncent des conditions de travail dégradées

Mise à jour le 2025-11-12 23:32:00 : Les agents du Camp-Est se mobilisent pour alerter sur leurs conditions de travail. Leur sécurité est en jeu, alors que la ministre des Outre-mer, Naïma Moutchou, visite la prison.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Les agents du Camp-Est, centre pénitentiaire de Nouméa, dénoncent des conditions de travail dégradées. Ils rappellent à l’État que leur quotidien s’est considérablement détérioré ces derniers mois. Les agressions se sont multipliées, et ils exigent des améliorations immédiates pour leur sécurité.

Ce qu’il faut savoir

  • Le fait : Les agents du Camp-Est dénoncent des conditions de travail dégradées.
  • Qui est concerné : Les agents pénitentiaires du Camp-Est.
  • Quand : 13 novembre 2025.
  • Où : Camp-Est, Nouvelle-Calédonie.

Chiffres clés

  • Quatre surveillants attaqués par des détenus en un mois et demi.

Concrètement, pour vous

  • Ce qui change : Les agents demandent des améliorations de sécurité immédiates.
  • Risques si vous n’agissez pas : La situation pourrait se détériorer davantage, mettant en danger la sécurité des agents.

Contexte

Les agents du Camp-Est se sont mobilisés sous un tivoli de fortune, brandissant des banderoles avec des messages tels que “Stop à ces conditions inadmissibles”. Ils rappellent que les conditions de détention des détenus sont indignes, mais que cela affecte également leurs conditions de travail. Victor Waheo, de la section STKE pénitentiaire, souligne que ces conditions de détention riment aussi avec leurs conditions de travail.

Investir dans le Camp-Est

C’est la deuxième fois que l’intersyndicale se réunit cette année pour ces raisons. Malgré les émeutes et la mutinerie qui ont mis en lumière les failles de sécurité, les agents regrettent que “rien ne bouge”. Victor Wayaridri, de Force ouvrière, déplore que l’État parle d’économies au détriment de leur sécurité.

Moins bien traités

Les surveillants exigent d’être traités avec les mêmes égards que leurs collègues de la police ou de la justice. Ils se sentent délaissés et appellent à un investissement dans leur sécurité.

Sources

Source : LNC

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Date de publication : 2025-11-12 23:32:00

Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Article vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.

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