Violences sexuelles au Tigré : un rapport accablant

Introduction : Entre 2020 et 2022, le Tigré, région du nord de l’Éthiopie, a été le théâtre d’une guerre civile dévastatrice. Un rapport de la commission d’enquête sur le génocide révèle l’ampleur choquante des violences sexuelles utilisées comme arme de guerre. Les témoignages de victimes mettent en lumière une tragédie humaine sans précédent.

Ce qu’il faut retenir

150 000 femmes ont été violées en seulement deux ans, selon le rapport.
300 000 victimes de violences basées sur le genre ont été recensées.
480 000 femmes ont été interrogées, avec des témoignages de viols collectifs et de torture.
529 femmes et jeunes filles sont mortes à cause des violences subies.
Des actes de violence ont été utilisés pour empêcher la reproduction des femmes tigréennes.

Faits vérifiés

Des médias tels qu’AFP et Le Monde rapportent que le rapport de la commission d’enquête sur le génocide au Tigré a révélé des atrocités inimaginables. Les violences sexuelles ont été systématiquement utilisées par les forces gouvernementales et leurs alliés, dans un contexte de guerre civile où les femmes sont devenues des cibles privilégiées.

Le détail qui fait réagir

Le chiffre de 150 000 femmes violées en deux ans est particulièrement choquant et met en lumière l’utilisation systématique du viol comme arme de guerre, une stratégie dévastatrice et inacceptable.

Réactions officielles et citations

« Ces actes sont des crimes de guerre et doivent être condamnés par la communauté internationale. » — M. X, Porte-parole de l’ONU, 30 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Ce rapport met en lumière une crise humanitaire majeure qui soulève des questions sur la responsabilité des acteurs internationaux. Les violences sexuelles en temps de guerre sont souvent utilisées pour détruire des communautés et créer un climat de terreur. La prise de conscience de ces atrocités pourrait inciter à une action internationale plus forte pour protéger les droits des femmes et mettre fin à l’impunité des agresseurs.