Violence envers les femmes : l’urgence d’agir au Parlement

Introduction : Le 25 novembre, en cette journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, les députés ont interrogé le gouvernement sur des chiffres alarmants. Plus de 270 000 victimes de violences conjugales en 2024, dont 84% de femmes, soulignent l’urgence d’une action collective. Ce débat crucial a résonné dans l’hémicycle, transcendant les clivages politiques.

Ce qu’il faut retenir

Plus de 270 000 victimes de violences conjugales en 2024, dont 84% de femmes.
160 000 enfants victimes de violences, un chiffre alarmant qui interpelle.
107 femmes tuées par leur conjoint ou ex-conjoint, selon les forces de l’ordre.
Un projet de loi-cadre annoncé par la ministre Aurore Bergé pour lutter contre ce fléau.
Le député insoumis Bastien Lachaud évoque des propos controversés sur la sécurité nationale.

Faits vérifiés

Les chiffres avancés lors de cette session ont été confirmés par plusieurs médias fiables, dont l’AFP et Le Monde. La nécessité d’une réponse politique forte face à ces violences a été largement reconnue, avec des propositions de lois transpartisanes en discussion.

Le détail qui fait réagir

Le chiffre choquant de 107 féminicides en 2024 a particulièrement frappé les esprits, rappelant l’urgence d’une mobilisation collective pour protéger les victimes.

Réactions officielles et citations

« Il est inacceptable que tant de femmes et d’enfants souffrent en silence. Nous devons agir maintenant. » — Céline Thiébault-Martinez, Députée, 25 novembre 2025.

Analyse & Contexte

Ce débat met en lumière un enjeu social majeur : la lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants. En évoquant des chiffres alarmants et des propositions législatives, les députés soulignent la nécessité d’une action immédiate. Ce sujet, qui transcende les clivages politiques, est crucial pour l’avenir de la société française.