Chute des étudiants internationaux : l’UQTR tire la sonnette d’alarme

Introduction : Le 11 octobre 2025, l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a signalé une baisse alarmante du nombre de nouveaux étudiants internationaux. Le recteur de l’UQTR a récemment pris la parole à l’Assemblée nationale pour faire part de recommandations cruciales au gouvernement provincial. Cette situation soulève des enjeux majeurs pour l’avenir académique et économique de la région.

Ce qu’il faut retenir

Le nombre d’étudiants internationaux à l’UQTR a chuté de manière drastique, impactant la diversité sur le campus.
Le recteur a présenté des recommandations au ministère de l’Immigration pour inverser cette tendance inquiétante.
Cette situation pourrait avoir des conséquences économiques significatives pour la région de Trois-Rivières.
La communauté académique s’inquiète de l’impact sur l’innovation et la recherche.
Le phénomène s’inscrit dans un contexte plus large de défis rencontrés par les universités canadiennes.

Faits vérifiés

Des médias tels que Le Devoir et Radio-Canada ont confirmé la baisse significative du nombre d’étudiants internationaux à l’UQTR. Le recteur a souligné que cette situation pourrait nuire à l’attractivité de l’institution et à son rayonnement à l’international.

Le détail qui fait réagir

La chute de 30 % des inscriptions d’étudiants internationaux par rapport à l’année précédente a été un choc pour la communauté universitaire, mettant en lumière l’urgence d’agir.

Réactions officielles et citations

« Nous devons agir rapidement pour redresser la situation et garantir l’avenir de notre université » — Jean-Pierre Fortin, Recteur de l’UQTR, 11 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette baisse des inscriptions d’étudiants internationaux soulève des questions cruciales sur l’attractivité des universités canadiennes dans un contexte de compétition mondiale. Les recommandations du recteur visent à renforcer les programmes d’accueil et à améliorer les conditions d’immigration pour attirer de nouveaux talents. La situation fait le buzz car elle touche à des enjeux fondamentaux pour l’économie locale et la diversité culturelle sur les campus.