La réalité méconnue du métier de critique vinicole

Mise à jour le 2025-11-07 13:41:00 : Être critique vinicole semble idyllique, mais cache des défis inattendus.

À vue de nez, être critique spécialisé dans le vin, donc “être payé pour boire toute la journée”, et pas de la piquette, “pourrait passer pour un métier de rêve”, s’amuse The Observer. Mais dans un article mis en valeur à la une de son édition du 2 novembre, l’hebdomadaire britannique apporte à ce tableau idyllique beaucoup de… modération.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Un critique vinicole goûte jusqu’à 18 000 bouteilles par an.
Qui est concerné : Les professionnels du vin et les amateurs.
Quand : Principalement entre septembre et novembre.
Où : Principalement au Royaume-Uni.

Chiffres clés

18 000 bouteilles goûtées par an.
4 dents perdues à cause des acides et du tanin.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : La perception du métier de critique vinicole.
Démarches utiles : Aucune mentionnée.
Risques si vous n’agissez pas : Malentendus sur la profession.
Exceptions : Aucune mentionnée.

Contexte

David Williams, critique vinicole pour un magazine londonien, partage son expérience. Il évoque une “comptabilité de la picole” et admet que les chiffres font se dresser les cheveux sur la tête. La période de septembre à novembre est particulièrement chargée, avec jusqu’à 600 vins testés en une semaine. Malgré sa passion, il met en garde contre les risques liés à l’alcoolisme dans ce métier.