Un collégien de 14 ans condamné à huit mois de prison avec sursis à Fort-de-France

Cédric Balcon-Hermand
07.11.2025

Un collégien de 14 ans condamné à huit mois de prison avec sursis à Fort-de-France

Mise à jour le 2025-11-07 14:07:00 : Un collégien a été condamné après une agression au collège Belle-Étoile. Cette décision soulève des questions sur la justice des mineurs.

Le 5 septembre, un différend entre un adolescent de 14 ans et l’équipe éducative a dégénéré après un rappel à l’ordre pour son comportement. Le collégien aurait alors frappé la principale du collège, avant de s’en prendre à d’autres membres du personnel venus s’interposer. Face à la gravité des faits, le collège Belle-Étoile a dû fermer ses portes plusieurs jours, le temps qu’une cellule psychologique soit mise en place pour les enseignants et les élèves.

Ce qu’il faut savoir

  • Le fait : Un collégien a été condamné à huit mois de prison avec sursis.
  • Qui est concerné : Les élèves et le personnel du collège Belle-Étoile.
  • Quand : Décision rendue le 2025-11-07.
  • Où : Fort-de-France, Martinique.

Chiffres clés

  • 8 mois : durée de la peine avec sursis.
  • 3 ans : interdiction de contact avec les victimes.

Concrètement, pour vous

  • Ce qui change : Le mineur ne pourra pas retourner au collège Belle-Étoile pendant trois ans.
  • Démarches utiles : Suivi éducatif et psychologique ordonné par le tribunal.

Contexte

Les faits remontent au 5 septembre dernier, jour de la rentrée scolaire. Un différend entre un adolescent de 14 ans et l’équipe éducative a dégénéré après un rappel à l’ordre pour son comportement. Le collégien a frappé la principale du collège, entraînant la fermeture temporaire de l’établissement pour mettre en place un soutien psychologique.

Citation

« Je leur avais expliqué qu’en justice des mineurs, on cherche avant tout à accompagner et à réinsérer plutôt qu’à sanctionner, elles ne s’attendaient donc pas à une peine lourde. Elles sont venues à l’audience avec beaucoup d’appréhension… Elles espéraient secrètement des explications sur ce qui a motivé ce passage à l’acte ou des excuses. Elles n’en ont eu aucune. Pour elles, c’est un rendez-vous manqué avec la justice, une grande déception » — Maître Muriel Renar-Legrand, avocate des victimes.

Sources

Source : Franceinfo

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Date de publication : 2025-11-07 14:07:00

Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Article vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.

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