Sergueï Loznitsa : La nécessité de se souvenir des atrocités soviétiques
Mise à jour le 2025-11-05 06:30:00 : Le réalisateur Sergueï Loznitsa souligne l’absence de jugement du régime soviétique, un sujet toujours d’actualité.
[Introduction 2–4 phrases : Le réalisateur ukrainien Sergueï Loznitsa revient sur la terreur stalinienne avec son film Deux procureurs. Il met en lumière les dangers de l’oubli historique. Cette réflexion est cruciale pour la société actuelle, confrontée à des enjeux de mémoire et de justice.]
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : Loznitsa évoque l’absence de Nuremberg pour le régime soviétique.
- Qui est concerné : Les citoyens européens et les générations futures.
- Quand : Actuellement, avec la sortie de son film.
- Où : En Europe, notamment en Ukraine.
Contexte
Le réalisateur souligne que le pouvoir soviétique a causé des souffrances comparables à celles de la Chine et du Cambodge. Après l’effondrement du monde soviétique, il n’y a pas eu de jugement, ce qui a conduit à une impunité persistante. Cette situation a des répercussions sur l’Europe d’aujourd’hui, confrontée à des défis similaires.
Ce qui reste à préciser
- Les conséquences de l’oubli historique sur les sociétés contemporaines.
- Les parallèles entre les exactions passées et les situations actuelles dans le monde.
Citation
« Il n’y a pas eu de Nuremberg du régime soviétique » — Sergueï Loznitsa, 2025.
Sources

Source d’origine : Voir la publication initiale
Date : 2025-11-05 06:30:00 — Site : www.la-croix.com
Auteur : Cédric Balcon-Hermand — Biographie & projets
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Publié le : 2025-11-05 06:30:00 — Slug : serguei-loznitsa-il-ny-a-pas-eu-de-nuremberg-du-regime-sovietique
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