Ségolène Royal dénonce la corruption dans “Tout est politique”

Introduction : Ce lundi 29 septembre 2025, Ségolène Royal, ancienne candidate à la présidentielle, était l’invitée de l’émission “Tout est politique” sur franceinfo canal 16. Elle a abordé des sujets brûlants tels que la condamnation de Nicolas Sarkozy et les enjeux du gouvernement Lecornu. Ses propos ont suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux.

Ce qu’il faut retenir

Ségolène Royal critique la condamnation de Nicolas Sarkozy pour corruption, qualifiant cela de “douloureux pour la démocratie”.
Elle souligne l’importance de la justice dans la préservation de la réputation de la démocratie française.
Royal évoque l’indifférence générale des Français face à l’absence de gouvernement, pointant des problèmes non résolus dans divers secteurs.
Elle appelle à une justice fiscale pour éviter que les catégories populaires ne soient les seules à payer les conséquences des décisions politiques.

Faits vérifiés

Les déclarations de Ségolène Royal ont été rapportées par plusieurs médias, dont France 24 et Le Monde. Ces sources confirment la condamnation de Nicolas Sarkozy pour des faits liés à sa campagne présidentielle de 2007, ainsi que les préoccupations de Royal concernant l’impact de cette affaire sur la démocratie française.

Le détail qui fait réagir

Royal a déclaré que la condamnation de Sarkozy est “accablante” pour l’image de la France à l’international, soulignant que la corruption dans le financement des campagnes électorales est un sujet de préoccupation majeur.

Réactions officielles et citations

« C’est douloureux pour la démocratie et pour l’image que la France donne à l’international. » — Ségolène Royal, 29 septembre 2025.

Analyse & Contexte

Les propos de Ségolène Royal mettent en lumière des enjeux politiques cruciaux en France, notamment la perception de la corruption et l’importance de la justice dans le maintien de la confiance des citoyens envers leurs institutions. Sa critique de l’indifférence générale face à l’absence de gouvernement souligne un désenchantement croissant parmi les électeurs.