01.12.2025 Cédric Balcon-Hermand 6 Views 0 Comments

Une fille perd l’assurance-vie à cause d’une fraude familiale

Mise à jour le 2025-12-01 06:00:00 : Une affaire d’assurance-vie révèle des fraudes familiales et des enjeux juridiques complexes.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Une souscription d’assurance-vie peut être contestée après le décès. Pour éviter cela, le souscripteur peut demander au bénéficiaire d’accepter le contrat. Cela empêche le souscripteur d’effectuer des rachats sans l’accord du bénéficiaire.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Une fille a perdu l’accès à l’assurance-vie de sa mère à cause d’une fraude de son frère.
Qui est concerné : Les souscripteurs d’assurance-vie et leurs bénéficiaires.
Quand : Les événements se sont déroulés entre 2008 et 2015.
Où : En France, principalement en région parisienne et en Meuse.

Chiffres clés

132 298 euros : montant total de l’assurance-vie concernée.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Les bénéficiaires doivent être vigilants sur les autorisations de rachat.
Démarches utiles : Vérifiez toujours l’authenticité des documents signés.
Risques si vous n’agissez pas : Vous pourriez perdre des fonds importants.

Contexte

Le souscripteur d’une assurance-vie peut désigner un bénéficiaire qui doit accepter le contrat pour éviter toute contestation. Cela est stipulé dans l’article L. 132-9 du code des assurances. Si le bénéficiaire perd l’accès aux fonds, il peut rechercher la responsabilité de l’assureur.