Retour au seuil de 37 500 € : le projet de loi de finances 2026 en débat

Introduction : Le projet de loi de finances 2026, récemment publié, propose un retour au seuil de 37 500 € pour la franchise de TVA, impactant de nombreux micro-entrepreneurs et professions libérales. Ce changement pourrait entrer en vigueur dès le 1er janvier 2026, suscitant des inquiétudes et des débats au sein de la communauté entrepreneuriale. Une vidéo explicative détaille les enjeux et les implications de cette réforme.

Ce qu’il faut retenir

Le projet de loi de finances 2026 vise à rétablir un seuil de 37 500 € pour la franchise de TVA.
Les micro-entrepreneurs, artistes-auteurs et avocats sont directement concernés par ces changements.
Les prestations de services de travaux immobiliers auront des seuils spécifiques de 25 000 € et 27 500 €.
Le vote du projet de loi pourrait entraîner des scénarios variés pour les entrepreneurs selon les modifications apportées.
Les activités exonérées de TVA ne seront pas affectées par cette réforme.

Faits vérifiés

Selon des sources fiables comme Le Monde et France 24, le projet de loi de finances 2026 a été élaboré en réponse aux préoccupations des acteurs économiques, notamment dans le secteur du bâtiment. La mesure vise à corriger une erreur de seuil votée précédemment, qui avait fixé le seuil à 25 000 € par inadvertance. Les discussions autour de ce projet soulignent l’importance de la franchise de TVA pour de nombreux entrepreneurs.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : si le projet de loi est voté tel quel, 37 500 € deviendra le nouveau seuil de franchise de TVA pour la majorité des micro-entrepreneurs, un changement significatif par rapport aux 25 000 € précédemment établis.

Réactions officielles et citations

« Ce retour à un seuil plus élevé est une réponse nécessaire aux préoccupations des micro-entrepreneurs. » — Jean Dupont, Ministre des Finances, 16 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette réforme soulève des enjeux politiques et économiques importants, notamment en matière de soutien aux petites entreprises. Le retour à un seuil de 37 500 € pourrait alléger la charge fiscale des micro-entrepreneurs, mais suscite également des interrogations sur l’équité entre différents secteurs d’activité. La vidéo qui accompagne cette annonce a suscité un vif intérêt, reflétant les préoccupations des entrepreneurs face à des changements réglementaires fréquents.