Programmes scolaires : l’enseignement de l’islam ne remplace pas l’enseignement des croisades

Des rumeurs affirment que l’enseignement de l’islam remplacerait les croisades. Cela inquiète parents et enseignants.

Libération a vérifié la rumeur et la qualifie d’inexacte. Cette information touche les programmes scolaires et la confiance dans l’école. La circulation de cette affirmation peut provoquer des tensions locales et des mobilisations. Pour savoir quoi faire, contactez votre établissement ou consultez les textes officiels.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Selon Libération, les programmes n’effacent pas l’enseignement des croisades.
Qui est concerné : Parents, enseignants et élèves des établissements français.
Quand : Vérification publiée par Libération le 20 octobre 2025.
Où : En France, au sujet des programmes scolaires nationaux.

Chiffres clés

20 octobre 2025 : date de l’article de vérification publié par Libération.
3 ans : ancienneté indiquée du collectif Parents Vigilants au moment de l’enquête.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Rien dans les éléments vérifiés par Libération concernant l’enseignement des croisades.
Démarches utiles : Interrogez le chef d’établissement ou demandez les textes officiels au rectorat.
Risques si vous n’agissez pas : Diffusion continue de la rumeur et tensions inutiles dans les écoles.
Exceptions : Modifications réelles des programmes seraient publiées par le ministère de l’Éducation nationale.

Contexte

La rumeur provient notamment du collectif Parents Vigilants, cité par Libération. Le collectif se présente comme réseau de parents d’élèves engagés. Libération rappelle que le collectif est lié au parti Reconquête, selon ses investigations. Le mouvement a lancé des campagnes visant à «protéger nos enfants» contre ce qu’il qualifie de «propagande». Ces éléments expliquent la forte circulation de la rumeur.

Ce qui reste à préciser

Le degré d’influence exact de Parents Vigilants sur les décisions locales n’est pas entièrement documenté.
La liste précise des modifications de programmes, si elles existent, reste à confirmer par des textes officiels.