Pollution numérique : l’impact caché des vidéos en ligne

Introduction : La COP26 a mis en lumière les enjeux environnementaux, mais un aspect crucial reste souvent dans l’ombre : la pollution numérique. Alors que notre consommation de vidéos en ligne explose, il est temps de prendre conscience de son empreinte écologique. Cet article explore les conséquences de nos usages numériques post-COP26.

Ce qu’il faut retenir

Le numérique représente déjà 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, plus que le transport aérien.
60 % des flux de données mondiaux proviennent de vidéos en ligne, un chiffre en constante augmentation.
La consommation d’énergie liée à la circulation des données pourrait doubler d’ici 2025.
Les vidéos en ligne génèrent une empreinte carbone comparable aux émissions annuelles de l’Espagne.
Le Pluraliste a choisi de ne pas filmer ses émissions pour réduire son impact environnemental.

Faits vérifiés

Des études récentes, relayées par des médias comme Le Monde et France 24, confirment que la consommation d’énergie du numérique augmente de 9 % par an. La production et le stockage des données sont responsables de 55 % de cette consommation, illustrant l’impact environnemental sous-jacent de nos activités en ligne.

Le détail qui fait réagir

En 2018, le visionnage de vidéos en ligne a généré une empreinte carbone équivalente aux émissions annuelles de l’Espagne, un chiffre qui interpelle et souligne l’urgence d’agir.

Réactions officielles et citations

« Nous devons repenser notre utilisation du numérique pour préserver notre planète. » — Expert en environnement, 2021.

Analyse & Contexte

Ce constat met en lumière un enjeu crucial : la nécessité de réduire notre empreinte numérique face à l’augmentation des données générées par les nouvelles technologies. La COP26 a certes abordé des sujets brûlants, mais la pollution numérique mérite une attention particulière, car elle pourrait avoir des conséquences désastreuses sur notre environnement.