Tribunal : dix prévenus jugés pour cyberharcèlement visant Brigitte Macron

Mise à jour le 2025-10-31 16:34:00 : dix personnes jugées pour cyberharcèlement.

Un procès pour cyberharcèlement a eu lieu à Paris.
Les prévenus ont relayé une rumeur mondiale sur Brigitte Macron.
L’affaire questionne la diffusion de fausses informations en ligne.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : dix prévenus jugés pour cyberharcèlement visant Brigitte Macron.
Qui est concerné : la première dame, les réseaux sociaux et le public.
Quand : audience mentionnée comme « lundi et mardi » dans le reportage.
Où : tribunal correctionnel de Paris, France.

Chiffres clés

10 prévenus jugés pour cyberharcèlement (source de l’article).

Concrètement, pour vous

Ce qui change : relayer des rumeurs peut entraîner des poursuites pénales.
Démarches utiles : signalez les messages diffamatoires aux plateformes et à la police.
Risques si vous n’agissez pas : la diffusion peut nuire durablement à une personne.
Exceptions : la liberté d’expression n’exonère pas de la diffamation et du harcèlement.

Contexte

Les experts expliquent les mécanismes de la rumeur.
Tristan Mendès‑France estime que la complosphère mobilise un imaginaire précis.
Rudy Reichstadt qualifie cette rumeur de « zombie » qui refuse de mourir.

L’enquête de généalogie de la rumeur identifie des acteurs.
Natacha Rey a alimenté la théorie, selon le reportage.
Rudy Reichstadt cite une collaboration avec Xavier Poussard en juin 2021.

Un hashtag, « Lady Bug », a circulé pour sous‑entendre un message.
L’expression joue sur « first lady » et l’idée de « bug ».
Le podcast Complorama examine ces dynamiques avec des spécialistes.

Ce qui reste à préciser

Les peines potentielles ou décisions finales du tribunal.
L’ampleur exacte de la diffusion et ses auteurs hors des dix prévenus.

Citation

« c’est une rumeur zombie, une rumeur qui refuse de mourir, aucune réfutation ne peut venir à bout » — Rudy Reichstadt, directeur de Conspiracy Watch.