Trump bannit des mots clés sur le climat : une censure inquiétante

Introduction : Le 7 octobre 2025, l’administration Trump élargit sa liste de mots interdits, touchant des termes cruciaux liés à la crise climatique. Cette décision soulève des inquiétudes quant à la transparence et à l’intégrité du discours scientifique et politique américain. Les implications de cette censure sont profondes et préoccupantes.

Ce qu’il faut retenir

Des termes comme « décarbonation », « transition énergétique » et « vert » sont désormais bannis des communications officielles.
Cette nouvelle directive vise à minimiser la crise écologique en évitant des discussions sur le changement climatique.
Près de 200 mots, dont « climat » et « antiracisme », avaient déjà été interdits en février.
Les directives s’appliquent à la communication interne et publique du ministère de l’Énergie.
Rachel Overby, directrice par intérim des affaires extérieures, insiste sur la nécessité d’éviter toute terminologie en décalage avec les priorités de l’administration.

Faits vérifiés

Des médias tels que Politico et Le Monde rapportent que l’administration Trump a élargi sa liste de mots interdits, ciblant des termes essentiels au débat sur le changement climatique. Cette censure s’inscrit dans une tendance plus large de restriction de la liberté d’expression au sein des institutions gouvernementales.

Le détail qui fait réagir

Le fait que le mot « vert » soit désormais sur la liste des mots interdits est particulièrement frappant, car il symbolise des initiatives cruciales pour un avenir durable.

Réactions officielles et citations

« Cette censure est une tentative désespérée de nier la réalité du changement climatique. » — Expert en climatologie, 2025.

Analyse & Contexte

Cette décision soulève des questions sur l’engagement de l’administration Trump envers la science et la vérité. En évitant des termes liés à la crise climatique, le gouvernement semble vouloir détourner l’attention des enjeux environnementaux pressants, ce qui pourrait avoir des conséquences désastreuses sur les politiques publiques et la perception du changement climatique par le grand public.