Noisy-le-Sec: trois basketteuses voilées en tribunes, deux sur le terrain, ce mardi

Courrier international republie un reportage du NRC dans la campagne d’Amnesty. À Noisy-le-Sec, 11 joueuses s’entraînent; deux portent le voile. Trois autres, voilées, s’assoient dans les gradins. Une joueuse de 22 ans dit avoir arrêté de jouer.

Le reportage décrit un entraînement féminin à Noisy-le-Sec. Il montre des trajectoires sportives interrompues. Vous êtes concerné si vous pratiquez en club ou encadrez des mineurs. L’article met en lumière des situations d’accès inégal au terrain.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Un entraînement d’une équipe féminine révèle que certaines joueuses voilées ne jouent plus et restent en tribunes.
Qui est concerné : Joueuses musulmanes voilées, clubs amateurs, encadrants, familles.
Quand : Un mardi soir; article initial paru en juin 2025.
Où : Noisy-le-Sec, Seine-Saint-Denis, banlieue parisienne.

Chiffres clés

11 joueuses à l’entraînement (soirée décrite).
2 joueuses voilées sur le terrain; 3 en tribunes (même séance).

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Non précisé dans l’extrait consulté.
Démarches utiles : Non mentionnées dans l’extrait.
Risques si vous n’agissez pas : Non précisés.
Exceptions : Non précisées.

Contexte

L’article est republié dans la campagne « Changez leur histoire » d’Amnesty. La scène se déroule un mardi soir au complexe sportif de Noisy-le-Sec. L’équipe féminine locale compte des profils variés, dont des joueuses voilées.

Trois femmes voilées arrivent et s’installent en tribunes. Sur le terrain, deux joueuses portent le voile. Coumba Badiaga, 22 ans, dit faire partie de l’équipe depuis six ans, mais avoir arrêté de jouer.