Maroc : La GenZ 212 en quête de réformes avant le discours royal

Introduction : Le 10 octobre 2025, des milliers de jeunes Marocains continuent de faire entendre leur voix à travers le pays. Alors que le discours royal approche, la GenZ 212 réclame des réformes urgentes dans les domaines de la santé, de l’éducation et de la justice sociale. Ce mouvement pacifique met en lumière les attentes d’une génération face à des élites jugées déconnectées.

Ce qu’il faut retenir

La GenZ 212 mobilise des milliers de jeunes à travers le Maroc, de Rabat à Marrakech.
Les manifestants exigent des droits fondamentaux tels qu’un logement décent et un accès à des soins de santé de qualité.
Le gouvernement marocain a reconnu certaines revendications et s’est engagé à améliorer la situation.
Le collectif appelle à des réformes profondes, même dans le contexte de l’organisation de la Coupe du Monde 2030.
Les manifestations sont pacifiques, mais portent un message fort sur la solidarité intergénérationnelle.

Faits vérifiés

Des médias tels qu’AFP et France 24 rapportent que la GenZ 212 a organisé des manifestations pacifiques, soulignant les préoccupations de la jeunesse marocaine face à des problèmes sociaux persistants. Les revendications portent sur des questions essentielles comme l’éducation et la santé, et le gouvernement a reconnu la nécessité d’agir.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : au 13e jour de mobilisation, des centaines de jeunes continuent de descendre dans les rues, prouvant ainsi la détermination d’une génération à faire entendre ses droits.

Réactions officielles et citations

« Nous ne devons pas être égoïstes. Soyons humains et parlons au nom de ceux qui en sont privés. » — Un représentant de la GenZ 212, 10 octobre 2025.

Analyse & Contexte

La mobilisation de la GenZ 212 soulève des enjeux politiques et sociaux cruciaux au Maroc. Alors que le pays investit massivement dans des événements internationaux comme la Coupe du Monde 2030, les jeunes rappellent que le progrès économique ne doit pas se faire au détriment des droits fondamentaux. Ce mouvement met en lumière une génération qui refuse d’être stigmatisée comme “perdue” et qui prend l’initiative de revendiquer des changements significatifs.