Maroc : GenZ 212 exige la démission du gouvernement

Introduction : Dans la nuit du 3 octobre 2025, le collectif de jeunes Marocains “GenZ 212” a lancé un appel à la démission du gouvernement, après une série de manifestations qui se poursuivent depuis six jours. Ces rassemblements, motivés par des revendications pour de meilleurs services de santé et d’éducation, ont été marqués par des violences tragiques. La situation au Maroc est devenue un point de tension majeur, attirant l’attention internationale.

Ce qu’il faut retenir

Le collectif “GenZ 212” a été créé récemment pour représenter les jeunes Marocains.
Les manifestations ont débuté il y a six jours, avec des revendications claires pour l’amélioration des services publics.
Des violences meurtrières ont éclaté lors des manifestations, exacerbant les tensions sociales.
Le gouvernement fait face à une pression croissante pour répondre aux attentes des citoyens.
Les réseaux sociaux jouent un rôle clé dans la mobilisation des jeunes et la diffusion des revendications.

Faits vérifiés

Les événements récents au Maroc ont été largement couverts par des médias fiables tels que France 24 et l’AFP. Les manifestations ont été déclenchées par un mécontentement général concernant les services de santé et d’éducation, et les violences qui ont eu lieu ont été confirmées par plusieurs sources d’information. Les jeunes, à travers le collectif “GenZ 212”, expriment un besoin urgent de changement et de réformes.

Le détail qui fait réagir

Plus de 68 000 vues ont été enregistrées sur les vidéos des manifestations, témoignant de l’ampleur de l’intérêt et de l’engagement des jeunes Marocains. Ce chiffre souligne l’importance de la voix des jeunes dans le paysage politique actuel.

Réactions officielles et citations

« Les jeunes ont le droit de s’exprimer et de demander des changements. Leur voix est essentielle pour l’avenir du Maroc. » — Abdellah Tourabi, journaliste et chroniqueur politique, 3 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette situation illustre un enjeu politique majeur au Maroc, où les jeunes se sentent souvent exclus des décisions qui les concernent. Les manifestations sont un reflet d’un mécontentement croissant face à un gouvernement perçu comme inactif. La dynamique actuelle pourrait potentiellement redéfinir le paysage politique marocain, en mettant en avant les préoccupations des jeunes générations.