28.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 2 Views 0 Comments

Les parents sur TikTok incitent leurs enfants à se battre : une tendance inquiétante

Mise à jour le 2025-11-28 11:45:00 : Une nouvelle tendance sur TikTok pousse les parents à demander à leurs enfants de les défendre dans des combats fictifs, ce qui peut avoir des conséquences graves sur leur bien-être émotionnel.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Cette tendance, qui se propage sur TikTok, consiste à demander aux enfants de se battre aux côtés de leurs parents. Cela crée une confusion des rôles et peut engendrer stress et anxiété chez les jeunes.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Des parents demandent à leurs enfants de les défendre dans des combats fictifs sur TikTok.
Qui est concerné : Les enfants et leurs parents, principalement en France.
Quand : Cette tendance est apparue fin septembre 2025.
Où : Principalement sur TikTok, en France et aux États-Unis.

Chiffres clés

1,7 million : nombre d’abonnés de l’influenceuse Poupette Kenza sur TikTok.
2 millions : vues d’une vidéo récente liée à cette tendance.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Les enfants peuvent développer des sentiments d’anxiété et de honte.
Démarches utiles : Évaluer l’impact émotionnel de ces vidéos sur vos enfants.
Risques si vous n’agissez pas : Risque d’endommager la confiance entre parents et enfants.

Contexte

Cette tendance a commencé aux États-Unis avant d’arriver en France, où elle a pris de l’ampleur sur TikTok. Les parents se filment en train de demander à leurs enfants de les défendre contre d’autres adultes, ce qui perturbe la dynamique parent-enfant.

Ce qui reste à préciser

Les conséquences à long terme sur la santé mentale des enfants.
La réaction des enfants face à cette demande peut varier considérablement.

Citation

« Pour un enfant, le parent est la référence en matière de sécurité. Or, lorsqu’il inverse la situation en lui demandant de venir le protéger, son cerveau ne comprend pas. » — Marine Vauthey, psychologue clinicienne.