Nouvelle-Calédonie

Les forces de l’ordre en Calédonie face à une crise sans précédent

Mise à jour le 2025-10-21 07:38:00 : Les services d’inspection des forces de l’ordre en Nouvelle-Calédonie sont confrontés à une adversité inédite. Cette situation a des implications directes sur la sécurité publique et la confiance des citoyens.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

La crise insurrectionnelle de mai 2024, qualifiée d’« exceptionnelle » par l’inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN), a entraîné des pertes humaines et une montée des tensions. Deux militaires ont trouvé la mort lors des opérations de maintien de l’ordre. Les inspecteurs rapportent également une présence massive d’armes à feu et de groupes coordonnés. La situation nécessite une attention particulière et des actions adaptées pour restaurer la sécurité.

Ce qu’il faut savoir

  • Le fait : La crise insurrectionnelle a entraîné des décès et une forte utilisation d’armes par les forces de l’ordre.
  • Qui est concerné : Les forces de l’ordre et la population de Nouvelle-Calédonie.
  • Quand : De juin 2024 à janvier 2025, période durant laquelle des enquêteurs ont été envoyés sur place.

Chiffres clés

  • Deux militaires décédés lors des opérations de maintien de l’ordre en mai 2024.
  • Seize faits ayant donné lieu à une action du bureau des enquêtes judiciaires (BEJ) en 2024.

Concrètement, pour vous

  • Ce qui change : Une surveillance accrue des opérations de maintien de l’ordre et une attention particulière aux familles des victimes.
  • Démarches utiles : Suivre les annonces des autorités concernant la sécurité publique.

Contexte

La crise insurrectionnelle de mai 2024 a été marquée par une forte présence d’armes à feu et des groupes organisés. Deux militaires, le gendarme Nicolas Molinari et l’adjudant-chef Xavier Salou, ont perdu la vie dans ce contexte. Pour faire face à cette situation, dix enquêteurs du bureau des enquêtes judiciaires (BEJ) ont été déployés en Nouvelle-Calédonie. Le rapport de l’IGGN souligne également une approche humaine et empathique des enquêteurs vis-à-vis des familles des victimes.

Ce qui reste à préciser

  • Les détails sur les enquêtes en cours et leurs résultats.
  • Les mesures spécifiques prises par les autorités pour améliorer la sécurité.

Citation

« La présence massive d’armes à feu et de groupes coordonnés est préoccupante » — IGGN, octobre 2024.

Sources

Source : IGGN

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Date de publication : 2025-10-21 07:38:00

Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Article vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.

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Cédric Balcon-Hermand

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