Le soft hooliganisme : un soutien festif sans violence dans les stades
Mise à jour le 2025-11-12 17:08:00 : Le soft hooliganisme, né en Suède, prône un soutien positif au football sans violence ni insultes.
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : Le soft hooliganisme encourage le soutien aux équipes de football sans violence.
- Qui est concerné : Les supportrices et supporters de football, notamment en Scandinavie.
- Quand : Depuis 2017, avec une croissance continue.
- Où : Principalement en Suède et dans certains stades belges.
Chiffres clés
- 25% des abonnés à l’Union Saint-Gilloise sont des femmes.
- 6.000 membres dans le groupe Facebook des Soft Hooligans.
Concrètement, pour vous
- Ce qui change : Un environnement de soutien positif dans les stades.
- Démarches utiles : Rejoindre des groupes de soutien sur les réseaux sociaux.
- Risques si vous n’agissez pas : Risque de harcèlement en ligne pour les partisans.
Contexte
Le soft hooliganisme a été fondé par Kajsa Aronsson et sa fille, Estrid Kjellman, lors de l’Euro féminin 2017 aux Pays-Bas. Ce mouvement vise à soutenir les joueuses scandinaves sans violence, en s’opposant aux comportements négatifs souvent associés au hooliganisme traditionnel.
Ce qui reste à préciser
- La perception du hooliganisme par le grand public.
- Le rôle des femmes dans le soutien au football.
Citation
« Dans l’imaginaire collectif, le hooligan est de nationalité anglaise. » — Natacha, supportrice de l’USG
Sources
Source d’origine : Voir la publication initiale
Date : 2025-11-12 17:08:00 — Site : www.levif.be
Auteur : Cédric Balcon-Hermand — Biographie & projets
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Publié le : 2025-11-12 17:08:00 — Slug : le-soft-hooliganisme-un-max-de-bruit-dans-le-stade-mais-sans-les-coups-et-les-insultes
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