Le Maroc face à une 8e année de sécheresse alarmante

Introduction : Le Maroc se retrouve à un tournant critique alors qu’il pourrait connaître sa huitième année consécutive de sécheresse. Le ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka, a récemment tiré la sonnette d’alarme sur cette crise hydrique sans précédent. Avec un déficit de 58 % et des barrages à seulement 32 % de leur capacité, la situation est préoccupante.

Ce qu’il faut retenir

Le Maroc enregistre un déficit hydrique de 58 % cette année.
Les barrages du pays ne sont remplis qu’à 32 % de leur capacité.
Le gouvernement prévoit la construction de 31 nouveaux barrages pour faire face à la crise.
Des stations de dessalement mobiles seront mises en place pour ravitailler les zones isolées.
4200 forages ont déjà permis d’approvisionner près de 6 millions de ruraux.

Faits vérifiés

Selon des médias fiables tels que l’AFP et France 24, le Maroc traverse une crise hydrique sans précédent, avec des ressources en eau qui n’ont pas dépassé 160 millions de mètres cubes à la fin septembre. L’évaporation a entraîné la perte de 650 millions de mètres cubes, exacerbant ainsi la situation. Le gouvernement marocain mise sur une stratégie nationale de gestion durable de l’eau pour répondre à cette urgence.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : alors que les ressources en eau sont dramatiquement insuffisantes, l’évaporation a fait disparaître l’équivalent de 650 millions de mètres cubes d’eau, un chiffre qui illustre l’urgence de la situation.

Réactions officielles et citations

« Nous entrons dans une nouvelle ère de gestion de l’eau, où chaque goutte compte. » — Nizar Baraka, Ministre de l’Équipement et de l’Eau, 15 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette crise hydrique soulève des enjeux politiques, sociaux et environnementaux majeurs. La gestion de l’eau devient une priorité nationale, et les efforts du gouvernement pour construire des barrages et des stations de dessalement témoignent d’une volonté de répondre à une situation alarmante. La vidéo attire l’attention car elle met en lumière l’impact direct de la sécheresse sur la vie quotidienne des Marocains, notamment dans les zones rurales.